La Haute Autorité de la Presse et de l’Audiovisuel (HAPA), en Mauritanie, a organisé un colloque sous le thème « les défis de la transformation numérique pour l’économie des médias audiovisuels », animé par Mme Latifa Akharbach, présidente de la Haute Autorité de la Communication Audiovisuelle (HACA) du Maroc, et présidente du Réseau des Instances Africaines de Régulation de la Communication (RIARC)
mardi, dans un réceptif hôtelier de Nouakchott.
Une rencontre en marge de laquelle le président de la Haute Autorité de la Presse et de l’Audiovisuel (HAPA) en Mauritanie, Houssein ould Medou, et la présidente de la Haute Autorité de la Communication Audiovisuelle (HACA) au Maroc, Mme Latifa Akhbarch, ont signé une convention rappelant les enjeux liés à la régulation autonome des médias, la consolidation de la culture et de la pratique démocratique et plusieurs thématiques pour un échange d’expériences, notamment dans le domaine de la promotion des droits humains.
Des aspects dont la gestion dans le respect des règles d’éthique et de déontologie, garantit la bonne information du public.
La convention trace la voie visant à améliorer les procédures et les outils de la régulation «monitoring, suivi des programmes, veille professionnelle, stratégie d’adaptation à un nouvel environnement numérique.
Dans son classement annuel qui sert de baromètre à la liberté de presse dans le Monde et publié chaque année le 3 Mai, à la veille de la Journée mondiale de la Presse, Reporters Sans Frontières (RSF) a rétrogradé la Mauritanie de la 33ème place qu’elle occupait l’an dernier à la 50ème. Pourquoi, à votre avis ?