
Aux environs de 18 heures, heure locale, je vis à partir du balcon de notre hôtel une voiture, une limousine portant une immatriculation diplomatique mauritanienne s’immobiliser devant le portail d’entrée de l’hôtel.
À Teyarett, un des quartiers populaires de Nouakchott où la criminalité est minime, en comparaison de certaines moughataas où il ne fait pas bon mettre le nez dehors, à partir d’une certaine heure de la nuit, une jeune femme descend d’un taxi en pleine journée.