
La Mauritanie rétrograde de dix-sept places au classement mondial de la liberté de la presse, par rapport à celui de l’an dernier.
À Teyarett, un des quartiers populaires de Nouakchott où la criminalité est minime, en comparaison de certaines moughataas où il ne fait pas bon mettre le nez dehors, à partir d’une certaine heure de la nuit, une jeune femme descend d’un taxi en pleine journée.