
Après dix neuf mois d'incarcération injuste et particulièrement cruelle, dont douze dans la sinistre prison d'Aleg, loin des nôtres et dans un isolement presque complet, l'appareil judiciaire de Mauritanie, soumis aux caprices de

Un homme particulièrement méchant tomba, un jour, grièvement malade. Une femme qui n’avait pas échappé à ses médisances le croisa dans la rue après son rétablissement. « J’ai pensé être victime d’un empoisonnement », lui révéla-t-il. « Tu t’es donc mordu la langue », lui répondit-elle.