
Nous avons pris connaissance, avec grand intérêt, de la déclaration publiée par l’Initiative des Editeurs de la Presse Ecrite, par laquelle elle décide de lancer un mot d’ordre d’une journée sans presse ce mercredi.

Un homme particulièrement méchant tomba, un jour, grièvement malade. Une femme qui n’avait pas échappé à ses médisances le croisa dans la rue après son rétablissement. « J’ai pensé être victime d’un empoisonnement », lui révéla-t-il. « Tu t’es donc mordu la langue », lui répondit-elle.