« On avait raison de se révolter », disait à l’époque une sommité révolutionnaire.
« On nous appelait les Fallaghas », disait un certain Sy Ezzedine de la révolution algérienne.
Après les ponts dits de l’Amitié, Taazour et El Haye Sakine, dont Nouakchott avait tant besoin pour désengorger une circulation devenue infernale, le président de la République a inauguré la semaine dernière plusieurs infrastructures, notamment la deuxième phase du projet Aftout ech-Charghi, une école dédiée aux métiers des mine