Depuis que le président Mohamed Ould Abdel Aziz a décidé, après le rejet des amendements constitutionnels par le Sénat, de les faire passer par voie de référendum populaire, une hystérie généralisée a gagné toute la république.
L’affaire dite du laboratoire de police, construit et équipée par une société anglaise aux normes internationales, continue de susciter un vif intérêt dans l’opinion publique mais n’en a pas moins connu son épilogue la semaine dernière.




.gif)








.gif)






