
«Ceux qui ne sont pas ingrats doivent reconnaître, au président Ould Abdel Aziz, son patriotisme et son attachement à l’unité nationale»

Un homme particulièrement méchant tomba, un jour, grièvement malade. Une femme qui n’avait pas échappé à ses médisances le croisa dans la rue après son rétablissement. « J’ai pensé être victime d’un empoisonnement », lui révéla-t-il. « Tu t’es donc mordu la langue », lui répondit-elle.