Le Calame : Après avoir été président du Burundi, Haut représentant de l'UA et Médiateur de la Francophonie, pourquoi êtes-vous candidat au secrétariat général de l'OIF ?
À Teyarett, un des quartiers populaires de Nouakchott où la criminalité est minime, en comparaison de certaines moughataas où il ne fait pas bon mettre le nez dehors, à partir d’une certaine heure de la nuit, une jeune femme descend d’un taxi en pleine journée.