
Dans ce récit autobiographique, Paul Robin nous entraîne au cœur de son enfance en Mauritanie dans les années 1940-1950.
À Teyarett, un des quartiers populaires de Nouakchott où la criminalité est minime, en comparaison de certaines moughataas où il ne fait pas bon mettre le nez dehors, à partir d’une certaine heure de la nuit, une jeune femme descend d’un taxi en pleine journée.