
Corentin Martins a la peau dure. En dépit du revers de l'expédition marocaine, la FFRIM n'a pas jugé nécessaire de défenestrer, comme on l’attendait, le technicien français, préférant plutôt couper la poire en deux.

L’affaire dite du laboratoire de police, construit et équipée par une société anglaise aux normes internationales, continue de susciter un vif intérêt dans l’opinion publique mais n’en a pas moins connu son épilogue la semaine dernière.