
Octobre 2012, quelques mois après l’accession au pouvoir du président Macky Sall au Sénégal, je rentrais tranquillement chez moi, après une séance de sport harassant. Mon téléphone sonne. Un numéro sénégalais s’affiche.

L’affaire dite du laboratoire de police, construit et équipée par une société anglaise aux normes internationales, continue de susciter un vif intérêt dans l’opinion publique mais n’en a pas moins connu son épilogue la semaine dernière.