La mort fait partie de la vie. Ou la vie fait partie de la mort. Peu importe. Ce qui est sûr, c’est qu’au pays des hommes bleus, les vivants ne valent rien. Seuls les morts sont quelque chose.
À Teyarett, un des quartiers populaires de Nouakchott où la criminalité est minime, en comparaison de certaines moughataas où il ne fait pas bon mettre le nez dehors, à partir d’une certaine heure de la nuit, une jeune femme descend d’un taxi en pleine journée.