
Le Calame : Vous venez de publier un roman qui porte le titre « L’Enfant de Kaaylinga ». Pourquoi ce titre qui, si je ne m’abuse, se compose d’un mot Ouolof (Kaay) et d’un mot Pulaar (Linga

Un homme particulièrement méchant tomba, un jour, grièvement malade. Une femme qui n’avait pas échappé à ses médisances le croisa dans la rue après son rétablissement. « J’ai pensé être victime d’un empoisonnement », lui révéla-t-il. « Tu t’es donc mordu la langue », lui répondit-elle.