
Jamais une conférence de presse n’a autant marqué les esprits que celle à laquelle s’est prêté, jeudi dernier, Ould Abdel Aziz. Non pas pour ce qui y a été annoncé, loin s’en faut.
À Teyarett, un des quartiers populaires de Nouakchott où la criminalité est minime, en comparaison de certaines moughataas où il ne fait pas bon mettre le nez dehors, à partir d’une certaine heure de la nuit, une jeune femme descend d’un taxi en pleine journée.