Après avoir vécu en grande concorde jusqu'à la fin des années 80, les communautés nationales de Mauritanie se regardent depuis plus de trois décennies en chiens de faïence.
Un homme particulièrement méchant tomba, un jour, grièvement malade. Une femme qui n’avait pas échappé à ses médisances le croisa dans la rue après son rétablissement. « J’ai pensé être victime d’un empoisonnement », lui révéla-t-il. « Tu t’es donc mordu la langue », lui répondit-elle.




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