
Dans sa conférence de presse d’hier soir, l’ancien président semble mettre en cause l’attitude du président élu, SE Mohamed Cheikh El Ghazwani par rapport à l’ancrage de la démocratie en Mauritanie.
Une page se tourne mais l’histoire n’en est pas finie pour autant. Le procès en appel d’Ould Abdel Aziz, de deux anciens Premiers ministres, de hauts responsables et des hommes « à tout faire » a rendu son verdict… mais l’affaire n’est toujours pas close.