
Lors de ses observations finales concernant le rapport initial soumis par la Mauritanie, le Comité des disparitions forcées (CED) de l’ONU avait formulé, l’an dernier, des recommandations relatives au « passif humanitaire ».
À Teyarett, un des quartiers populaires de Nouakchott où la criminalité est minime, en comparaison de certaines moughataas où il ne fait pas bon mettre le nez dehors, à partir d’une certaine heure de la nuit, une jeune femme descend d’un taxi en pleine journée.