
En passant en revue la presse de ce 11 Août 2015, mon attention a été retenue par l’article du Colonel Oumar Ould Beibacar.

Un homme particulièrement méchant tomba, un jour, grièvement malade. Une femme qui n’avait pas échappé à ses médisances le croisa dans la rue après son rétablissement. « J’ai pensé être victime d’un empoisonnement », lui révéla-t-il. « Tu t’es donc mordu la langue », lui répondit-elle.