
On l’avait peut-être enterré un peu tôt. Ould Abdel Aziz renaît, tel le phénix, de ses cendres.
À Teyarett, un des quartiers populaires de Nouakchott où la criminalité est minime, en comparaison de certaines moughataas où il ne fait pas bon mettre le nez dehors, à partir d’une certaine heure de la nuit, une jeune femme descend d’un taxi en pleine journée.