
Lorsque l’on vit un deuil, les mots pour dire ce que l’on ressent nous font souvent cruellement défaut. On se sent seul, on est submergé par ses émotions ou par le flot de souvenirs.

Un homme particulièrement méchant tomba, un jour, grièvement malade. Une femme qui n’avait pas échappé à ses médisances le croisa dans la rue après son rétablissement. « J’ai pensé être victime d’un empoisonnement », lui révéla-t-il. « Tu t’es donc mordu la langue », lui répondit-elle.