La farce n’a que trop duré. Je parle de notre « démo-gâchis ». Je ne reviendrai pas sur l’Ere Taya parce que celle du président Aziz suffit largement pour illustrer le propos que je tiens.
Un homme particulièrement méchant tomba, un jour, grièvement malade. Une femme qui n’avait pas échappé à ses médisances le croisa dans la rue après son rétablissement. « J’ai pensé être victime d’un empoisonnement », lui révéla-t-il. « Tu t’es donc mordu la langue », lui répondit-elle.




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