
Un premier groupe de huit étudiants rapatriés d’Ukraine, victime d’une invasion de l’armée russe depuis une dizaine de jours, est arrivé à Nouakchott lundi matin.

Un homme particulièrement méchant tomba, un jour, grièvement malade. Une femme qui n’avait pas échappé à ses médisances le croisa dans la rue après son rétablissement. « J’ai pensé être victime d’un empoisonnement », lui révéla-t-il. « Tu t’es donc mordu la langue », lui répondit-elle.