
C’est par la voix fluette de Kadiada Malick Diallo lisant un poème de Abou Mborom que j’ai appris la nouvelle de son décès.

L’affaire dite du laboratoire de police, construit et équipée par une société anglaise aux normes internationales, continue de susciter un vif intérêt dans l’opinion publique mais n’en a pas moins connu son épilogue la semaine dernière.