
La gestation du dialogue politique, dont les manœuvres avaient abouti à un consensus autour de la mise en place d’un comité de pilotage, semble avoir du plomb dans les ailes. On n’en parle plus ou presque.
Après les ponts dits de l’Amitié, Taazour et El Haye Sakine, dont Nouakchott avait tant besoin pour désengorger une circulation devenue infernale, le président de la République a inauguré la semaine dernière plusieurs infrastructures, notamment la deuxième phase du projet Aftout ech-Charghi, une école dédiée aux métiers des mine