
La résistance au colonialisme est devenue un sujet de choix, depuis que le président de la République en a fait un enjeu culturel. Quasiment toute la classe politique passe une bonne partie de son temps à polémiquer là-dessus.
Après les ponts dits de l’Amitié, Taazour et El Haye Sakine, dont Nouakchott avait tant besoin pour désengorger une circulation devenue infernale, le président de la République a inauguré la semaine dernière plusieurs infrastructures, notamment la deuxième phase du projet Aftout ech-Charghi, une école dédiée aux métiers des mine