
Dans un entretien accordé à France 24, l’ancien président Mohamed Ould Abdel Aziz a exclu tout compromis avec le pouvoir, tout exil en France et exige un procès pour laver l’affront dont il est victime.

Un homme particulièrement méchant tomba, un jour, grièvement malade. Une femme qui n’avait pas échappé à ses médisances le croisa dans la rue après son rétablissement. « J’ai pensé être victime d’un empoisonnement », lui révéla-t-il. « Tu t’es donc mordu la langue », lui répondit-elle.