
Les organisateurs du festival de musique urbaine « Assalamaleikoum », qui souffle sur sa quinzième bougie cette année, ont face à la presse ce mercredi.
À Teyarett, un des quartiers populaires de Nouakchott où la criminalité est minime, en comparaison de certaines moughataas où il ne fait pas bon mettre le nez dehors, à partir d’une certaine heure de la nuit, une jeune femme descend d’un taxi en pleine journée.