
Lorsque, alité par une méchante fièvre et une forte hypotension, me parvint la douloureuse nouvelle du décès de feu Mohamed Saïd Ould Hommody, je dus connaître un moment d’obnubilation car la cascade d’impressions que j’en garde d

Un homme particulièrement méchant tomba, un jour, grièvement malade. Une femme qui n’avait pas échappé à ses médisances le croisa dans la rue après son rétablissement. « J’ai pensé être victime d’un empoisonnement », lui révéla-t-il. « Tu t’es donc mordu la langue », lui répondit-elle.