
Depuis 2019, après chaque sortie du président Mohamed Cheikh Ghazouani, le milieu politique « lave ses calebasses et attend », comme disaient nos grand-mères.
À Teyarett, un des quartiers populaires de Nouakchott où la criminalité est minime, en comparaison de certaines moughataas où il ne fait pas bon mettre le nez dehors, à partir d’une certaine heure de la nuit, une jeune femme descend d’un taxi en pleine journée.