
Un épineux problème vient de connaître son dénouement, une issue heureuse que l'on doit indéniablement à trois parties: l'État mauritanien, les médiateurs de l'IPAR et les populations concernées, celles de Feralla et environs.

L’affaire dite du laboratoire de police, construit et équipée par une société anglaise aux normes internationales, continue de susciter un vif intérêt dans l’opinion publique mais n’en a pas moins connu son épilogue la semaine dernière.