
Pendant tout ce temps, la guerre se poursuit. L’armée nationale enregistrait revers sur revers, ce qui la confinait dans une position de plus en plus défensive, ce qui était intenable.

Un homme particulièrement méchant tomba, un jour, grièvement malade. Une femme qui n’avait pas échappé à ses médisances le croisa dans la rue après son rétablissement. « J’ai pensé être victime d’un empoisonnement », lui révéla-t-il. « Tu t’es donc mordu la langue », lui répondit-elle.