J’ai lu avec intérêt « Quarante ans au service de l’Etat mauritanien (bribes de souvenirs, ça et là) 1960-2000 » d’Abdallah Sidya Ebnou.
Un homme particulièrement méchant tomba, un jour, grièvement malade. Une femme qui n’avait pas échappé à ses médisances le croisa dans la rue après son rétablissement. « J’ai pensé être victime d’un empoisonnement », lui révéla-t-il. « Tu t’es donc mordu la langue », lui répondit-elle.




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