
Le pays fait désormais partie, et ce depuis plusieurs années de l’initiative lancée de façon conjointe par le FMI et la Banque Mondiale, nommée PPTE ( Pays Pauvres Très Endettés).
Dans son classement annuel qui sert de baromètre à la liberté de presse dans le Monde et publié chaque année le 3 Mai, à la veille de la Journée mondiale de la Presse, Reporters Sans Frontières (RSF) a rétrogradé la Mauritanie de la 33ème place qu’elle occupait l’an dernier à la 50ème. Pourquoi, à votre avis ?