« La France n'a pas le choix », reconnaissait le président français lors d'une récente tournée au Cameroun, au Bénin et en Guinée-Bissau,« si elle veut continuer à conserver une certaine influence sur le continent africain ».
L’affaire dite du laboratoire de police, construit et équipée par une société anglaise aux normes internationales, continue de susciter un vif intérêt dans l’opinion publique mais n’en a pas moins connu son épilogue la semaine dernière.




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