
Il y a une trentaine d’années, des chercheurs avisés notaient les étranges manœuvres tribales autour de la privatisation des banques mauritaniennes, toutes nationalisées à l’époque.

Un homme particulièrement méchant tomba, un jour, grièvement malade. Une femme qui n’avait pas échappé à ses médisances le croisa dans la rue après son rétablissement. « J’ai pensé être victime d’un empoisonnement », lui révéla-t-il. « Tu t’es donc mordu la langue », lui répondit-elle.