
Il y a une trentaine d’années, des chercheurs avisés notaient les étranges manœuvres tribales autour de la privatisation des banques mauritaniennes, toutes nationalisées à l’époque.
Après les ponts dits de l’Amitié, Taazour et El Haye Sakine, dont Nouakchott avait tant besoin pour désengorger une circulation devenue infernale, le président de la République a inauguré la semaine dernière plusieurs infrastructures, notamment la deuxième phase du projet Aftout ech-Charghi, une école dédiée aux métiers des mine