
Il n’y a pas un secteur aujourd’hui dans notre pays où l’empreinte de la gestion désastreuse de la décennie d’Aziz ne se fait pas sentir. Partout, on paie les frais de ses réalisations bidons et de ses mauvais choix.
Après les ponts dits de l’Amitié, Taazour et El Haye Sakine, dont Nouakchott avait tant besoin pour désengorger une circulation devenue infernale, le président de la République a inauguré la semaine dernière plusieurs infrastructures, notamment la deuxième phase du projet Aftout ech-Charghi, une école dédiée aux métiers des mine