
L’agence Tadamoun continue son petit bout de chemin. La tâche est particulièrement rude : Venir à bout des séquelles de l’esclavage, permettre la réinsertion définitive des rapatriés et lutter contre la pauvreté.
À Teyarett, un des quartiers populaires de Nouakchott où la criminalité est minime, en comparaison de certaines moughataas où il ne fait pas bon mettre le nez dehors, à partir d’une certaine heure de la nuit, une jeune femme descend d’un taxi en pleine journée.