
Encore une fois, le pouvoir exécutif récidive et s’adonne à sa vieille pratique d’instrumentalisation de la justice pour persécuter ses adversaires politiques, même si ceux-ci bénéficient d’une immunité.

L’affaire dite du laboratoire de police, construit et équipée par une société anglaise aux normes internationales, continue de susciter un vif intérêt dans l’opinion publique mais n’en a pas moins connu son épilogue la semaine dernière.