
Quelqu’un a dit que les peuples n’ont que les gouvernements qu’ils méritent. Cet adage dont certains mauritaniens voulaient s’affranchir est, visiblement, très têtu.
Le Calame : Assalamou aleykoum, Monsieur le président !
Le président Ghazwani : Aleykoum Essalam ! (Il commence à invoquer Allah et son Prophète (PBL) et récite plusieurs versets du Saint Coran pointant un doigt dans chaque direction cardinale…)