Dans le cadre d’un projet financé par le Fonds d’affectation des Nations Unies, SOS-Esclaves a organisé une série de sessions de formation à Néma et Atar, au profit d’une soixantaine de ses militants.
À Teyarett, un des quartiers populaires de Nouakchott où la criminalité est minime, en comparaison de certaines moughataas où il ne fait pas bon mettre le nez dehors, à partir d’une certaine heure de la nuit, une jeune femme descend d’un taxi en pleine journée.