
Les dirigeants de la France et de leurs alliés ont souvent répété que cinquante-sept de ses soldats « ont donné leur vie pour le Mali » et que celui-ci devrait montrer plus de gratitude envers la France.
Après les ponts dits de l’Amitié, Taazour et El Haye Sakine, dont Nouakchott avait tant besoin pour désengorger une circulation devenue infernale, le président de la République a inauguré la semaine dernière plusieurs infrastructures, notamment la deuxième phase du projet Aftout ech-Charghi, une école dédiée aux métiers des mine